Le monde célèbre chaque 12 juin depuis 2002 la journée mondiale du travail contre les enfants , initié par L’Organisation internationale du Travail (OIT) pour mettre en lumière les nombreux abus subis par les enfants au travail.
L’objectif de cette journée vise à alerter sur un phénomène qui touche 160 millions de filles et de garçons âgés de 5 à 17 ans travaillent , soit une augmentation de 8,4 millions en quatre ans dans le monde dont la moitie opere dans le cadre de travaux dangereux , Minoritaire en Europe et en Amérique du Nord, il reste particulièrement répandu en Afrique subsaharienne, où près d’un quart des enfants travaille (23,9 %).
En republique democratique du congo , le phenome ne cesse de s’accroitre , les enfants travaillent pour subvennir aux besoins de leur famille , tout en s’eloignant de chemin de l’ecole et s’exposer à plusieurs dangers .
Selon l’UNICEF, environ 40.000 enfants et jeunes travaillent dans et autour des mines en République Démocratique du Congo – beaucoup dans les pires formes de travail des enfants. Et d’autres sont recrutés contre leur volonté dans les groupes armés.
Une phenomene qui pertube la quietude de parents congolais qui se livrent aux revenus de leurs enfants dont leurs avenir reste incertains .
Depuis 2000, pendant près de deux décennies, le monde a fait des progrès constants dans la réduction du travail des enfants dit l’OIT. Mais ces dernières années, les conflits, les crises et la pandémie de VIH/SIDA, ont plongé davantage de familles dans la pauvreté et contraint des millions d’enfants supplémentaires à travailler.