Depuis la dernière sortie médiatique du chef de l’État au cours de laquelle , il a loué les acquis du gouvernement par rapport à son partenariat avec le fond monétaire international jetant des fleurs à l’ancien ministre des finances comme artisans de l’achèvement de la 5eme revue avec le FMI, les commentaires vont dans tous les sens sur les réseaux sociaux. D’après une certaine opinion, Félix Tshisekedi ne devrait pas venter un prédateur cité dans un dossier judiciaire en cours et que ses affirmations mettent en mal la lutte contre la corruption. Des avis émis librement par des analystes politiques et autres internautes qui n’engagent nullement l’IGF.
mais ces déclarations ont été récupérées par les mauvaises langues, qui accusent faussement l’inspection générale des finances et son chef de service jules ALINGETE de manipuler ces personnes.
Ces mauvaises langues déterminées à nuire à la personne du gendarme financier qui reste pourtant fidèles à la vision du chef de l’État celle d’implémenter la bonne gouvernance en RDC vont même jusqu’à faire croire que publier les rapports des enquêtes de l’inspection générale des finances c’est propager une mauvaise image du pays à l’extérieur.
Une approche complètement erronée qui contredit la volonté de la convention de Nations unies sur la lutte contre la corruption qui recommande aux pays membres de mener des campagnes de sensibilisation pour faire connaître ce qui est fait dans le cadre de la lutte. Mais aussi contre la volonté clairement exprimée du chef de l’État de mener une lutte acharnée contre la corruption qui a ramené au plus bas niveau ce pays.
L’inspection générale des finances devrait-elle rester silencieuse face aux fossoyeurs des finances ?
Plusieurs observateurs estiment que garder silence donnerait l’impression que le président a abandonné la lutte contre la corruption.
Pendant que la communauté Internationale apprécie les efforts du président de la République à éradiquer les antivaleurs dans la gestion de la chose publique, les criminels financiers tentent de détourner l’attention de l’opinion en faisant passer un message selon lequel la traque des détourneurs salit l’image du pays alors que le message qui devrait être perçu c’est celui de la détermination du président Tshisekedi à ne plus accepter les actes de corruption.
La traque contre les criminels financiers doit être renforcée afin de rassurer la CI qu’en RDC, le combat contre la corruption a produit des résultats escomptés.